1. Un moteur plus écologique

L’un des arguments avancés pour convaincre les gens d’utiliser les deux-roues électriques, c’est de lutter contre la pollution dans les villes. L’utilisation des motos électriques aide à réduire considérablement l’émission de particules fines et de gaz carbonique. En outre, pour solutionner la pollution liée à la production des batteries au lithium, il est alors convenable de les recycler.

2. Un entretien plus facile

Par rapport à la mécanique des motos thermiques, celle des deux-roues électriques est plus simple. En effet, cela peut s’expliquer par le fait que le moteur a moins de pièces et donc n’a pas besoin d’entretien spécifique. Avec les moteurs thermiques, la distribution à réviser avec la chaîne, le remplacement des joints, etc. deviennent un lointain souvenir. Néanmoins, vous avez tout de même à changer les pneus, les plaquettes ainsi que les amortisseurs, puisqu’ils s’usent avec le temps.

3. Une conduite différente

À la différence des deux-roues thermiques, les motos électriques ne font pas de bruit. Ce qui va réduire la pollution sonore dans les villes. Ce type de moto permet aussi d’avoir une conduite plus dynamique. Si le deux-roues thermique a besoin de rouler sur une certaine distance pour monter dans les tours, les motos électriques quant à elles offrent déjà toute sa puissance au démarrage.

4. Une consommation plus rentable

Bien que la recharge électrique prenne encore plus de temps comparé à un plein d’essence, cela est largement compensé par le coût de la recharge qui est beaucoup moins cher. Notez que la dépense en consommation énergétique est 30 fois moins chère pour un deux-roues électrique par rapport à une moto à essence.

5. L’autonomie

Comme on l’a déjà vu, les motos électriques ne sont pas encore à mesure de faire le poids avec les engins motorisés thermiques du point de vue du temps de ravitaillement en carburant. Toutefois, les constructeurs innovent chaque année en proposant des batteries avec un chargement de plus en plus rapide (jusqu’à 30 minutes à l’heure actuelle). C’est pour cela que le scooter et la moto électrique se prêtent plutôt pour de courts trajets en ville.

Peinture acrylique

Cette peinture est un type de peinture fait à base d’eau. La peinture acrylique n’utilise en effet ni adoucisseur ni solvant et se sèche à l’air libre. Ce type de peinture est connu comme étant une peinture de très bonne qualité et moins toxique. En plus, par rapport aux autres types de peinture, elle est dotée d’une très longue longévité, elle est souple, dure et brillante. Aussi, elle ne coûte pas cher. Par contre, elle présente un désavantage et c’est le séchage. La peinture acrylique sèche très lentement. Pour qu’une couche de cette peinture sèche, il faut attendre au moins une journée.

Peinture cellulosique

Ce type de peinture est en réalité considéré comme la peinture pour voiture la plus ancienne. Utilisée depuis 150 ans jusqu’à présent, la peinture cellulosique est une peinture à phase solvant. Généralement, la peinture cellulosique est utilisée par les amateurs de voitures anciennes comme les voitures de collection. Ce type de peinture se sèche par évaporation des solvants. En plus, elle est vraiment résistante, car elle résiste à l’eau, aux huiles lubrifiantes, à l’essence et même aux agents atmosphériques. L’avantage de la peinture cellulosique, c’est qu’elle se sèche très rapidement et offre un rendu brillant voilà pourquoi elle n’a plus besoin de lustrage. Toutefois, la peinture cellulosique est un type de peinture vraiment toxique, car elle est composée de produits extrêmement chimiques. Aussi, pour pouvoir obtenir le résultat désiré, il faut plusieurs couches, car elle est peu garnissante.

Peinture uréthane

La peinture uréthane est aujourd’hui la peinture la plus utilisée. Cette peinture est en effet dotée d’une caractéristique extrêmement résistante et faite pour résister à la corrosion et offre un rendu assez satisfaisant. Cette peinture sèche très rapidement, car elle se sèche par évaporation.

Comment déclarer la cession ?

La déclaration de cession est une formalité imposée par la loi et personne n’en est exempté. Cette déclaration se fait en 3 temps et pour faire les choses de façon légale, il ne faut sauter aucune étape. La première doit se faire avant la transaction, lorsque vous, vendeur et propriétaire du véhicule, allez télécharger et imprimer le formulaire type. Il faut ce formulaire « Certificat de cession d’un véhicule d’occasion » en 2 exemplaires, à remplir soigneusement. Les informations vous concernant, concernant l’acheteur et celles du véhicule doivent y être mentionnées. Puis, la deuxième étape se déroule pendant la transaction, lorsque la vente est conclue entre vous et l’acquéreur. Vous devez garder un exemplaire du certificat de cession et donner l’autre au nouveau propriétaire après les avoir signés tous les deux. Enfin, la troisième étape, c’est après la transaction. La loi vous accorde 15 jours pour finaliser la formalité en faisant la déclaration de cession en ligne. Une fois que vous aurez réalisé cette dernière étape, la vente est officielle et à partir de là, vous serez enfin dégagé de toute responsabilité vis-à-vis du véhicule. Cela veut dire que vous avez intérêt à respecter ce délai, de manière à ne pas payer d’éventuelles amendes suite à une infraction que pourrait commettre le nouveau propriétaire. Lorsque la déclaration de cession est enregistrée et validée, vous ne serez plus inquiété en quoi que ce soit par rapport au véhicule.

Le remplissage du certificat de cession

Comment remplir le certificat de cession ? Vous devez reporter les mêmes informations sur les deux exemplaires que ce soit celui que vous conserverez ou que celui que vous remettrez au nouveau propriétaire. D’abord, vous devez remplir votre propre exemplaire et commencer par la partie concernant le véhicule. Indiquez entre autres choses son numéro d’immatriculation, son numéro d’identification, son numéro de carte grise, sa marque, sa variante, sa version, son genre national. Puis, remplissez la partie vous concernant et ne rien oublier, dont votre nom et prénom, votre nom d’usage si vous en avez un, votre adresse personnelle. Ensuite, le jour de la transaction, venez au rendez-vous et apportez votre exemplaire du certificat de cession. Remplissez, avec l’acheteur, les informations le concernant cette fois. Il faut y mentionner son identité, la date, l’heure et le lieu de la transaction, le motif de la cession, c’est-à-dire s’il s’agit d’un don, d’une vente. Enfin, vous devez tous les deux signer les deux exemplaires. C’est avec ces certificats dûment remplis que vous allez faire la déclaration de cession en ligne. Comme vous le savez certainement, ce genre de procédure ne se fait plus physiquement en préfecture, mais uniquement sur Internet. Si vous avez des difficultés avec un ordinateur ou avec l’Internet, vous pouvez toujours vous rendre en préfecture pour vous faire aider par un médiateur sur place. Tout le matériel nécessaire à la réalisation de votre déclaration de cession est également disponible sur les lieux.

Déclarer la cession, oui, mais où ?

Toute démarche relative à la déclaration de cession doit se faire uniquement en ligne, mais plusieurs solutions se présentent à vous. La première, c’est de le faire vous-même et de vous rendre sur le site de l’ANTS. Cette nouvelle mesure fait suite à la décision de l’État de revoir les missions des agents travaillant dans les préfectures. Du coup, ceux-ci n’ont plus l’habilitation pour recevoir, enregistrer et traiter les déclarations de cession, où que ce soit sur le territoire français. Désormais, c’est l’Agence Nationale des Titres Sécurisés qui se charge des déclarations de cession, elle remplace les préfectures qui en avaient la responsabilité depuis. Tout cela pour dire que, vous devez déclarer la cession de votre véhicule sur le site de l’ANTS et pour cela, voici comment procéder. En premier lieu, vous devez créer un compte sur le service France Connect. Puis avec votre mot de passe, authentifiez-vous. Selon votre demande, remplissez les informations et téléchargez le certificat de cession et par la même occasion, le certificat de situation administrative. Le service vous enverra un code de cession, il s’affichera sur votre écran une fois que vous aurez fini la démarche. Ensuite, remettez ce code à l’acheteur le jour de la vente, un code confidentiel valable 15 jours et composé d’une série de chiffres et de lettres. Ce code est utile à l’acheteur pour pouvoir immatriculer le véhicule à son nom. N’oubliez pas également l’accusé d’enregistrement de déclaration de cession. Cliquez ici pour en savoir plus sur comment l’obtenir. C’est un document d’une importance cruciale car c’est ce papier qui va permettre au nouvel acquéreur d’obtenir un certificat d’immatriculation.

Passez par un professionnel de l’automobile

Peut-être que vous n’avez pas le temps de vous occuper de cette formalité ou bien vous trouvez tout cela un peu contraignant. C’est ici que vous devez choisir la deuxième solution, celle de confier cette formalité à un professionnel habilité. En confiant cette procédure à un tel professionnel privé, le code de cession n’est pas utile. Voici ce que vous devez faire pour la déclaration de cession de votre véhicule via une plateforme privée. Un, sur le téléservice de déclaration de cession, fournissez le numéro d’immatriculation du véhicule, la date et l’heure de la transaction et vos données personnelles, c’est-à-dire votre nom, votre prénom, votre adresse personnelle, etc. Deux, calculez le coût de la procédure, en fait, à ce stade, la plateforme vous indique le tarif et la manière d’effectuer le paiement en toute sécurité. Trois, imprimez le certificat de cession prérempli en deux exemplaires. Faites remplir le deuxième à l’acheteur le jour de la transaction. Et quatre, dans les 15 jours suivant la vente, connectez-vous à nouveau à votre compte sur la plateforme à qui vous avez confié la démarche et validez la cession. Là, vous recevrez une confirmation soit par mail soit par SMS.

L’âge de l’enfant

Avant d’acheter un vélo pour votre enfant, pensez à son âge. Car contrairement aux vélos pour adultes, ceux des enfants sont classés par âge. Pour un enfant âgé de trois ans n’ayant pas encore beaucoup d’équilibre, le plus conseillé est le tricycle. Les deux roues supplémentaires dont il est équipé permettent au vélo de gagner en stabilité. Par contre, pour un enfant âgé de 8 ans et plus, vous pouvez choisir un modèle de 14 pouces qui n’est pas équipé de roues supplémentaires. À noter que la taille d’un vélo est exprimée en pouce.

Le sexe de l’enfant

Il ne faut pas oublier qu’un vélo pour enfant doit allier confort, équilibre et sécurité. Sans oublier que le sexe est également un important facteur à prendre en compte. Lorsqu’il s’agit d’une petite fille, le vélo est en général blanc, rouge, rose, mauve ou violet. Par contre, pour un petit garçon, les couleurs les plus prisées sont le bleu, le vert, le noir et le gris. Notez que le cadre de ce type de vélo est toujours très bas.

La qualité des pneus

Lorsque vous choisissez un modèle pour votre enfant, privilégiez les pneus de vélo. Plus précisément, leur qualité. Tout comme les vélos des grands sportifs, ceux destinés aux enfants feront du tout terrain. Ils seront surtout utilisés à n’importe quelle saison. Il faudra donc des pneus de très bonne qualité qui puerait résister à tout. Les plus conseillés sont ceux faits entièrement en gomme qui sont d’excellents antidérapants et qui permettent d’avoir une meilleure emprise sur le vélo.

La puissance et l’autonomie de la moto

Pour connaître la puissance d’une moto électrique, il faut la mesurer en kW. Sachez que 4 kW correspond à une puissance de 50 cc, et au-delà, c’est une moto électrique de 125 cc. Vous avez aussi une option : celle de convertir la base de 1 kW en 1,36 ch.

L’autonomie est également une condition très importante. Elle varie selon différentes conditions : état de la route, mode de conduite, état de la batterie, régime moteur et poids du conducteur et du moteur. L’idéal serait d’opter pour une moto électrique autonome entre 75 et 350 km et aussi de tenir compte du cycle de charge de la batterie pour connaître sa durée de vie.

Les garanties offertes au moment de son achat

Sachez qu’une bonne moto électrique possède entre 600 à 800 cycles de charge, lui permettant de durer 10 ans. Mais tout dépend des conditions citées ci-dessus, notamment si vous l’utilisez tous les jours. N’oubliez pas non plus de vous informer sur le service après-vente pour l’achat d’une moto électrique, les opérations d’entretien, les prix et la disponibilité des pièces de rechange.

Pour éviter d’utiliser tous les jours votre deux-roues électrique, alternez son usage avec celui d’un modèle thermique. Ainsi, vous ne l’utiliserez que pour une courte distance ou pour de petites courses. Évitez autant que possible les roadtrips.

Quelques conseils pratiques

Pour préserver au mieux l’état de votre moto électrique acquise chez des marques comme purerider, évitez le contact de la batterie avec l’eau, le froid et les températures extrêmes. En hiver, il serait préférable de bien la protéger en la mettant dans un endroit à une température ambiante d’environ 15°. Pour la laver, privilégiez un jet d’eau indirect ou adoptez la vieille technique des 2 seaux.

Le blouson

Le blouson n’est pas obligatoire pour les motards, mais il vous sera indispensable. Il n’y a pas de modèle précis à porter, l’important est qu’il soit doté d’une bande réfléchissante pour que vous soyez visible dans nuit. Le blouson vous préserve des températures glaciales. Il vous évite les problèmes d’hypothermie qui touchent les motards. Le blouson limite également les impacts d’un choc en cas d’accident. Le blouson doit avoir des manches longues et confortables. Les modèles les plus courants sont ceux qui ont des renforts au niveau des épaules, du sternum est des coudes.

Le casque

Tous les motards doivent porter un casque, quelle que soit la distance qu’ils doivent parcourir. Cet équipement est important. C’est le seul équipement capable de protéger votre tête des accidents. Entre autres, il doit respecter les normes CE ou NF, être en bonne étant et doit être parfaitement attaché à la tête. Le casque doit être équipé d’une visière pour une meilleure protection. Le non-respect de la norme est sanctionné par une amende et peut même vous coûter la vie. N’hésitez pas à demander l’aide d’un professionnel pour vous aider.

Les gants

Le gant est aussi indispensable pour les motards et est presque obligatoire. Choisir la bonne paire est crucial. Les mains peuvent se blesser gravement que le reste du corps en cas d’accident. Il faut acheter des gants homologués EPI ou CE. Ceux-ci sont confortables, souples et résistants. Vos gants doivent être parfaitement ajustés à vos mains sans qu’ils ne gênent pas vos mouvements. Puisqu’il s’agit d’un investissement à long terme, vous devez les choisir avec soin. Les gants avec des coques antichocs offrent une meilleure protection. Une amende de 68 € ainsi le retrait d’un point sur votre permis s’applique si vous ne portez pas de gants homologués.

Les filières pour se former en métier de pilote d’avion civil

On évoque trois (3) filières à suivre pour devenir un pilote d’avion dans le civil, la filière civile d’Etat, la filière privée et l’armée de l’air.
La filière civile d’Etat avec une admission par voie de concours très sélectif au sein de l’Ecole Nationale de l’Aviation Civile ou ENAC. Dans ce cadre, il existe trois (3) catégories de concours, l’EPS/S réservé à tous les intéressés qui n’ont aucune compétence ni un bagage préalable en aéronautique. La formation théorique et pratique dure vingt quatre (24) mois, soit deux (2) ans. La formation est ouvert à tous les titulaires de licence, des diplômes équivalents, de DUT, BTS. Un test d’aptitude physique est prioritaire. Le concours EPL/U est une voie de concours aux postulants ayant déjà une notion théorique en aviation. Ceux qui ont des acquis pratiques et théoriques dans le domaine peuvent s’inscrire au concours EPL/P.
Pour la filière privée, l’enseignement est plus académique, plus couteux et plus long. Le cursus se fait au sein des aéro-clubs affiliés dans la Fédération Française Aéronautique ou FFA. Le mode de formation en pilote d’avion s’est amplement évolué. Ainsi, l’application des théories est appuyée par une période de stage pratique.
L’armée de l’air est aussi un moyen de s’intégrer dans le monde de l’aviation pour devenir un pilote professionnel. Par le moyen d’une offre de recrutement, il recrute des jeunes diplômés en BAC général et technologique. Pour être éligible à la formation, vous devez passer par des épreuves physiques et écrites.

Une journée type d’un pilote de ligne

Le pilote d’avion ou le pilote de ligne assure le transport aérien des voyageurs, notamment les passagers au sein des compagnies aériennes charter ou low cost. Selon ses qualifications ou plus précisément son cursus, les fonctions d’un pilote professionnel peuvent être complexes.
De son attribution, le pilote programme méticuleusement son vol et met au point l’ensemble des impératifs de sécurité des voyageurs. Avant de s’envoler, il élabore le plan de vol, plus exactement l’itinéraire, vérifier les conditions météorologiques, veille la quantité du carburant, assurer le fonctionnement de tous les outils de navigation.
Tout au long du trajet, il a pour fonction d’assurer de contrôler les paramètres de vol tout en veillant à la consommation du carburant. Le pilote en ligne doit impérativement être bilingue de préférence avec une communication aisée en anglais. A noter que toutes les informations soient en anglais. Il doit être en mesure de faire face à tous les imprévus, tout en assurant la sécurité de tous les passagers. Pour être réactif à des situations d’urgence, les pilotes en ligne sont soumis à des tests d’aptitudes professionnels et des visites médicales. Pour devenir un pilote professionnel, le pilote en ligne doit cumuler des expériences de longues années en largage de parachutiste, les instructions en aéroclubs, le secours, le transport de fret, etc.

La catégorie L1e regroupant les scooters électriques 50cc

La catégorie L1e regroupe les deux-roues électriques dont la vitesse maximum ne surpasse pas les 45 km/h et dont la puissance est réduite à 50 cm3 pour un moteur à 4 kW. Pour conduire cette catégorie de moto, il faut avoir au moins 14 ans et avoir un Brevet de Sécurité Routière (BSR) si vous êtes né à partir de 1988. Ceux et celle qui sont venus au monde avant le 31 décembre 1987 n’ont pas besoin de ce permis pour conduire un scooter électrique 50cc. À noter que cette catégorie de moto est idéale pour rouler en milieu urbain. Comme vous pouvez le voir sur les sites de vente tels que 2twentyscooters.com, son coût est généralement plus abordable par rapport au scooter électrique 125 cc, car il est accessible entre 1 500 à 7 000 euros.

La catégorie L3e regroupant les scooters électriques 125 cc

La catégorie L3e regroupe les deux-roues électriques ayant une puissance dépassant les 4 000 watts (4 kW). Leur vitesse de pointe surpasse les 45 km/h. Pour conduire cette catégorie de moto, il faut avoir au moins 16 ans et posséder un permis A1, aussi baptisé permis 125. Le permis A ou A2 permet aussi la conduite d’un scooter électrique125 cc si sa puissance ne surpasse pas les 11 kW. Pour ceux qui ont obtenu le permis B avant le 1er mars 1980, ils peuvent aussi conduire cette catégorie de moto puisqu’ils bénéficient d’une équivalence avec le permis A1. Par contre, si le permis B a été obtenu après 1980, il est nécessaire de suivre une formation d’environ 7 heures pour pouvoir conduire un scooter électrique 125 cc.

Les avantages des deux roues électriques L3e sont nombreux. En effet, la moto électrique 125 cc est plus légère, entre 100 et 150 kilos, ce qui rend aisé la conduite en milieu urbain. De plus, ce type de scooter possède une boite de vitesse automatique, un accélérateur et 2 leviers de freins. En outre, son embrayage est aussi automatique, ce qui permet d’éviter le risque de calage au départ. Enfin, cette catégorie de moto est très pratique, puisqu’il accélère bien et offre un court rayon de braquage. Le scooter électrique 125cc possède aussi de petites roues, ce qui offre une excellente maniabilité. Notons que cette catégorie de moto coûte un peu plus cher, jusqu’à 16 000 euros.

Le casque

Le port d’un casque est obligatoire le jour de l’examen. Cet accessoire doit être homologué pour garantir la protection du motard. Un casque non approprié pourra engendrer une mauvaise note B durant l’examen et vous ne pourrez continuer l’épreuve si vous ne trouvez pas un bon casque. Mais qu’est-ce qu’un bon casque ? Il s’agit tout simplement d’un casque homologué doté du marquage NF ou CE et qui est aussi muni de bandes réfléchissantes. Toutefois, le casque devra aussi vous procurer du confort durant la conduite. Pour un débutant, il est souvent conseillé de favoriser un casque intégral qui est entièrement clos avec une visière. Ce modèle de casque offre un maximum de protection et confort. Puis, la taille du casque doit bien correspondre à celle de la tête du motard.

Les gants et le blouson

Le port de gants est également imposé durant un passage de permis moto. Les gants doivent être agréés CE EPI pour assurer sa qualité, sa bonne tenue et sa résistance en cas d’accident. Pour le choix des gants, avoir la bonne taille est primordial. Vous devez être l’aise en les portant pour que vous puissiez bien maîtriser la conduite de la moto. Les gants de moto doivent être à la fois confortables, tenaces et protecteurs. Puis, il y a aussi le blouson moto qui est obligatoire pendant l’examen. Le blouson n’est pas seulement une affaire de style et d’esthétique, il joue également un rôle dans la sécurité du motard. Si vous n’avez pas de blouson spécial moto, vous pouvez opter pour une veste à manches longues durant l’examen. Ce vêtement doit aussi être pourvu de bandes réfléchissantes. Notons qu’il existe actuellement deux types de blouson pour motard parmi lesquels vous pouvez opter, dont le modèle imperméable réservé pour la mi-saison et l’hiver, et le modèle ventilé et respirant dédié pour l’été. Pour que vous soyez totalement à l’aise dans votre blouson de motard, favorisez un modèle doté de velcro qui permet une grande aisance lors de la manipulation de la moto.

Les bottes et le pantalon de motard

Les chaussures de motard sont aussi obligatoires lors du passage de permis moto. Il s’agit souvent de bottes ou de chaussures montantes accordant une bonne protection, à la fois à la cheville et au tibia. Pour être à l’aise durant la conduite, il est essentiel de choisir les chaussures de bonne taille. Puis, il y a le pantalon de moto qui est également indispensable pour protéger les jambes en cas de chute. Toutefois, il faut savoir que le pantalon de moto n’est pas obligatoire pendant l’examen de permis.

La maintenance

Lorsque vous partez dans un pays lointain, il convient de trouver un véhicule bien entretenu. Pour vous assurer que votre 4×4 bénéficie d’un excellent entretien dans ce cas, assurez-vous que les pièces détachées soient accessibles à proximité du lieu que vous prévoyez de visiter. Préférez également opter pour une voiture facile à entretenir.

La motorisation

Le moteur diesel présente nettement plus d’avantages lorsqu’on parle de voiture tout-terrain. Étant donné que la plupart des véhicules roulant sur les routes utilisent du diesel, il est donc plus facile de trouver ce type de carburant. Cependant, les véhicules à essence se révèlent moins coûteux et de meilleure qualité. Vous devez donc balancer entre le type de carburant accessible et le prix pour choisir votre 4×4. Pour vous conforter dans votre choix, sachez que les voitures diesel sont plus puissantes que celles qui roulent à l’essence sur les pistes. Si vous envisagez de parcourir de longues distances sur le bitume, préférez les tout-terrains qui roulent à l’essence. SI vous comptez rouler sur des terrains accidentés, optez pour le diesel.

Manuel ou automatique ?

De plus en plus de monde adopte la boîte automatique en raison de sa grande praticité et son efficacité. Cependant, la bonne vieille boîte manuelle reste la mieux adaptée pour les longues routes. Et pour cause, elle vous permet de voyager à votre rythme. Si vous hésitez à choisir entre ces deux boîtes de vitesse, préférez les 4×4 dotés d’une boîte automatique qui vous permet de choisir votre vitesse selon le type de route que vous empruntez.

Voiture simple, électronique ou hybride ?

Si vous partez dans une contrée lointaine comme l’Asie ou l’Afrique, ne vous aventurez pas à rouler dans une voiture électronique. Vivre une panne électrique dans un endroit reculé compromettrait votre sécurité. D’autant plus que vous êtes susceptible de ne trouver un garagiste qu’à plusieurs kilomètres de distance, mais également, les bornes de recharge de la batterie n’existent pas encore dans certains pays de ces continents. Préférez les véhicules roulant à l’essence ou au gasoil dans ce cas, et veillez à faire le plein avant votre départ.